DOCUMENTS sur : Eva GONZALES, FLANDRIN, REALIER-DUMAS, CROCHEPIERRE ...
Eva GONZALES : Tableaux célèbres de cette artiste: 1874 La loge aux Italiens 98 x 130 Musée d'ORSAY
1876 Le réveil 81 x 100 Kunsthalle BREMEN
Napoléon III 1861 Jeune homme nu au bord de la mer 1836 Madame H. Flandrin
Musée du LOUVRE Musée BONNAT Bayonne
Maurice REALIER-DUMAS (1860 - 1929) a vécu et travaillé à CHATOU, non loin de la Maison FOURNAISE où se réunissaient
MAUPASSANT et les IMPRESSIONNISTES (RENOIR y a peint le célèbre "Déjeûner des canotiers" où figure, accoudée à la balustrade,
Alphonsine PAPILLON, née FOURNAISE, la compagne de toujours de REALIER-DUMAS.
Bien qu'ami intime des IMPRESSIONISTES, il ne fit jamais partie de ce mouvement et resta fidèle à une peinture faite de mesure
et d'harmonie, apprise auprès de son maître Léon GEROME (inventeur du terme "Pompier"). Il fut tour à tour peintre de l'histoire,
paysagiste, orientaliste, intimiste, affichiste de renom, peintre religieux.
Le chevalet de mine 1889 Le goûter sur l'herbe 1892 2 jeunes filles... 1890 Jeune fille arabe
Son père ayant été Sous-Préfet de VILLENEUVE-SUR-LOT sous le second Empire, il y a vécu 10 ans, jusqu'à la fin de ses études
secondaires et s'y est lié d'une profonde et durable amitié avec Georges LEYGUES. A la demande de ce dernier, il réalisa de 1911 à 1920
la longue théorie des 66 saints qui ornent la nef de l'église Sainte Catherine de VILLENEUVE.
A sa mort, il légua à la ville tous ses tableaux en sa possession, soit plusieurs centaines.
Théorie des saints. Nef de l'église Sainte Catherine 1920
André CROCHEPIERRE 1860 - 1937 a vécu toute sa vie à VILLENEUVE et y a peint, dans son atelier au bord du Lot,
une oeuvre très influencée par l'école hollandaise du XVII° siècle. Tout genre de peinture l'attirait et il peignit des scènes familières
d'intérieur (sa femme était son modèle préféré), des natures mortes, des paysages du bord du Lot, de nombreux portraits pour
lesquels il était renommé et plusieurs autoprtraits, dont certains saisissants.
Le chaudron 1912 hst 92 x 74 La soupière blanche 1912 hst 81 x 105 Le rayon 1923 hst 118 x 90
La fileuse 1896 80 x 100 Portrait... détail Dernier autoportrait détail
Admis aux Beaux-Arts de PARIS dans l'atelier de BOUGUEREAU, il y resta peu. Provincial dans l'âme, il ne supportait
pas la vie agitée de la capitale. Cependant il participa tous les ans, par ses envois de tableaux, de 1881 à 1924 au
Salon des artistes français.